Traité de géographie ... / traduit ... du grec en français ... Par M. l'abbé Halma.
- Ptolemy
- Date:
- 1828
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Credit: Traité de géographie ... / traduit ... du grec en français ... Par M. l'abbé Halma. Source: Wellcome Collection.
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![( ι5·2 ) / AOtyj Se η του εξάρματος περιφέρεια S ιέ ότι δε και Sia ταπρο§ανης ες-ιν ο τοιουτος παράλληλοί, δεΰεικται εν τη γεωγραφία ... id. in. 1. 2. ~ j La géographie de Ptolémée, montre effectivement le parallèle de Taprobane à 4 degrés 15' de latitude. Év γαρ τω κανονιω των πόλεων εν τω του μήκους σελι&ω παρακειται όσον ό μέσος έκας-ης των πόλεων απεχειτου Sia των μα κάρων μέσου επιτοϋ ισημερινού προς «νατολας. id. in. 1. νι. Cette table des villes est celle qui se trouve dans la géographie de Ptolémée, où les longitudes sont comptées sur l’équateur depuis les iles Fortunées. Pag. v. Homère représente sur le bouclier d’Achille , l’Océan circulant comme un fleuve autour des terres : Ev S'eziBei ποταμού μεγα 3'ενός ωκεανοιο αντυγα παρ πυματην σακεος πυκα ποιητοιο. Hérodote se moque de cette idée, quand il dit : Je ne peux pas m’empêcher de rire, quand je vois des gens qui décrivent le tour de la terre, sans en avoir de connoissance, qui font couler l’océan autour d’elle, qui la représentent comme circulaire et façonnée au tour, et qui font l’Asie égale à l’Europe, je ne sais quel ancien poète, Homère ou quelqu’autre, a le premier fait un fleuve de l’Océan, je pense qu’ayant trouvé cette idée établie, il l’aura transportée dans ses poésies. Γελώ Se ορεων γης πεpιoSoυς χραψαντας πολλούς >]5ν] και ουSεva νοον έχοντας εξηγησαμενον οί τε ωκεανόν τε ρέοντα γραφουσι περιξ, την τε γην εουσαν κύκλοτερεα ώς απο Τορνου j και την Ασιην τη Ευρώπη ποιουντων ισην. Herodot. Melpom. IV. Ου γαρ τινα εγωγε ποταμόν Ωκεανόν εωντα. Ομηρον Se, η τινα των προτερον γενομενων ποιητεων, οοκεω το Ονομα ευροντα ες την ποιησιν εσενεικασθαι. Euterpe, 1. II, Pag. vij, I. 5, de bas en haut. Syéne voyant le soleil à son zénith,le jour du solstice d’été, se jugeoit à près de 24 degrés de latitude boréale, et voyoit l’étoile polaire élevée de la même quan- tité au dessus de l’horizon. Alexandrie supposée sous le même méridien, voyant cette étoile élevée de près de 3i degrés, fut jugée à cette distance boréale de l’équateur, qui, ainsi étoit censé à 3i degrés environ du zénith d’Alexandrie. La différence de 3id à 24d est 7 dégrés pour la longueur de l’arc céleste entre les zéniths de ces deux villes ; donc en mesurant sur terre la^distance de ces villes, on aura en stades, lieues ou autres mesures itinéraires quelconques, la longueur](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b22017689_0210.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)