Traité clinique de rhumatisme articulaire, et de la loi de coïncidence des inflammations du cœur avec cette maladie / [J. Bouillaud].
- Jean-Baptiste Bouillaud
- Date:
- 1840
Licence: Public Domain Mark
Credit: Traité clinique de rhumatisme articulaire, et de la loi de coïncidence des inflammations du cœur avec cette maladie / [J. Bouillaud]. Source: Wellcome Collection.
19/636
![avoir aSpDIiVXIE 10 en leur envoyan Fe ES PS da VUAC CL L VAIUS UC LAl VURU 4 LE AYULUS GEL sulfuré, l’hydro-sulfure d’ammoniaque , LELA …. + t TES à PORN I URAIURIN , VEL AVI LOEUER D'IQUVU MAUR ee la percussion périphérique et de la percus- (2222 » etc. Paris, 1851, p. 158.) IVLIBUCUULE. VE AULE y ; La L ' #4 2uU2L Jérat. On Soon PRÉFACE, XVI] 6° Selon nos adversaires, la durée du rhumatisme articu- Jaire aigu général est fort incertaine, et il n’y a aucun moyen sûr de juger d'avance si tel rhumatisme durera un ou deux, ou trois septénaires, ou davantage. Nul pronostic là-dessus à établir d’après la plus ou moins grande intensité de l'invasion (pag. 242-4h). Voici d’ailleurs ce qu'ils disent sur cette du- rée : « Nous avons vu quelquefois le rhumatisme articulaire « général ne se terminer qu'au bout de trois mois. Mais « l’opiniâtre persistance du mal pendant deux à trois mois est « hors de la règle ordinaire, ni plus ni moins qu’une rapide « terminaison au bout de huit jours... La terminaison après « deux septénaires s’observe plus souvent, mais elle n’est pas « encore la plus commune. Cest, en général, du vingtième « au trentième jour que la fièvre rhumatismale accomplit « son cours. Pour durée moyenne et ordinaire, il faut comp- « ter environ vingt jours, ou trois septénaires : M. Chomel « l'avait dit, il,y a vingt-trois ans, dans sa thèse inaugu- « rale, et d’après les auteurs et d'après sa propre obser- « vation (1). » (1) Il est vrai que cette fixation de Ja durée du rhumatisme aigu en général, et zon du rhumatisme articulaire aigu en particulier, se trouve dans la disser- tation indiquée. Mais cette évaluation ne repose sur aucun résumé, sur aucune analyse, sur aucune statistique d'un nombre déterminé d'observations recueil- lies avec les détails convenables. De plus, on ne pose pas nettement les termes de ceite durée. On ne dit point, par exemple, à quelle époque précise on fixe la terminaison de la maladie, la convalescence ou la guérison complète, Or, comment s'entendre , quand on néglige de bien formuler tous les élé- mens de la question que l’on se propose d'étudier et de discuter ? D'ailleurs, chose bien singulière ! dans les Leçons sur le rhumatisme, on a pris soin de ne rapporter que la moitié du passage de la dissertation où M. Cho- mel avait indiqué son opinion relativement à la durée du 1humatisme. Voici . la partie du passage que l’on rapporte seule : « Dans le rhumatisme aigu , la b](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b29322443_0019.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)