Les elements de la médecine-pratique, tirés des écrits d'Hippocrate et de quelques autres médecins anciens et modernes. Où l'on traite des maladies ... à chaque age, dans les différentes saisons de l'année, selon les différentes constitutions de l'air, sous divers climats, & en particulier sous celui de Bésiers. Avec des remarques ... pour servir de prodrome à une histoire générale des maladies ... / [Jean Bouillet].

  • Bouillet, Jean, 1690-1777.
Date:
1744-1746
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Credit: Les elements de la médecine-pratique, tirés des écrits d'Hippocrate et de quelques autres médecins anciens et modernes. Où l'on traite des maladies ... à chaque age, dans les différentes saisons de l'année, selon les différentes constitutions de l'air, sous divers climats, & en particulier sous celui de Bésiers. Avec des remarques ... pour servir de prodrome à une histoire générale des maladies ... / [Jean Bouillet]. Source: Wellcome Collection.

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    F K EF A C E. xvij trouvée dans la fuite des temps, pareeque cette pre- ce miere qui étoit trop forte & trop indigefte leur eau- ce foit les mêmes maux qu’elle cauferoit aujourd’huy. Car ce il ne faut pas douter, qu’elle ne caufaft de grandes ce douleurs & de grandes Maladies, & qu’elle n’abre- ce geât même nos jours. . . . Voilà quel e a été la ne- ce ceflité qui a obligé les Homfnes à chercher un Régime ce convenable à leur nature, & qui leur a fait trouver ce celui qui eft en ufage aujourd’huy. ce ,, Après avoir donc battu & lavé le Froment, l’a- ce voir bien purgé, l’avoir fait moudre & fafler, ils l’ont ce pétri & fait cuire, & en ont fait du Pain.Et ce quel nom plus propre & plus convenable peut-on ce donner à cette invention , que celui de Médecine ? ce puifqu’elle n’a été trouvée que pour la nourriture & ce la fanté des Hommes... . ( a ) Du moins il eft certain ce quec’eftune invention très-importante, & l’effet d’une ce grande méthode & d’une forte reflexion. . . . ce ,, Voyons donc, fi ce qu'on appelle communément ce la Médecine (/<* Diœtet/que ) qui a été inventée pour ee le foulagement des Maladies, mérite ce nom , & quelle ce a été ion origine. (^)Pour moi je fuis perfuadé, comme ce je l’ay déjà dit, que perfonne ne fe feroit avifé de ce chercher cet Art, fi les mêmes viandes & le même ce régime euftent été propres aux Malades & aux Sains. <e Auflî voyons-nous que ceux qui n’ont point l’ufage de ce la Médecine , ne s’abftienncnt d’aucune des chofes ce (a} E’tT&Î Toyc. du ÇMUtL Jÿ yiyi, ;{gl Ttytlf TS Jfj CT/Ci^Q*. ([?') E'tAJoi /uiïp y/f o'ép cv îimv 3 ouS\j àv Jbaiti MvztKlw ouJ)eif ^ îlTVJJTOC J)CL]%U<LT& TDlW TS '/^yVQltfV , )Lj 701(71 V Vy&lVQUFV