Histoire naturelle des médicamens, des alimens et des poisons : tirés des trois règnes de la nature : classés suivant les méthodes naturelles modernes les plus exactes : avec l'indication de leurs propriétés, de leurs usages, de leurs qualités nuisibles, et des moyens d'y remédier, leur analyse chimique, leur emploi médical, etc. : on a joint partout les noms spécifiques de zoologie, de botanique et de minéralogie, et distribué les substances d'après leur genre, leur famille, leur ordre d'affinité naturelle, avec leurs descriptions / par J.J. Virey.
- Julien-Joseph Virey
- Date:
- 1820
Licence: Public Domain Mark
Credit: Histoire naturelle des médicamens, des alimens et des poisons : tirés des trois règnes de la nature : classés suivant les méthodes naturelles modernes les plus exactes : avec l'indication de leurs propriétés, de leurs usages, de leurs qualités nuisibles, et des moyens d'y remédier, leur analyse chimique, leur emploi médical, etc. : on a joint partout les noms spécifiques de zoologie, de botanique et de minéralogie, et distribué les substances d'après leur genre, leur famille, leur ordre d'affinité naturelle, avec leurs descriptions / par J.J. Virey. Source: Wellcome Collection.
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![ENTOODl CTIO Le* lu ors donl le bleu passe ai* ment au i an blanc ] comme celles de chicorée , de bourrache , buglosse, pulmonaire, vipérine, polygala , bluet, campanule, hyssope, veso . etc. n'ont j blemenl ces principes nuisibles qui se manifestent surtout chea I» 11 spj c< a donl le bleu est fixe , intense, et pour ainsi dire essentiel) la plante. Nous remarquons môme des végétaux qui, Bans avoir des Beura bleues,portent sur tout leur feuillage une teinte bleuâtre qui le rend d'un vert glauque^ et qui est l'indice de qualités plus ou moins nuisibles. Ainsi. les papai éracét s, le pavot cornu , l'argémone, lesancoli ratioleel dentelaii e, les clématites, la laityié \ ireuse , les ombellifères vénéneuses. telles que li 3œnanihêe\ 1< %pheUandriam9àes hellébores, d< ,\Lirichnm, lemelianthuêi di seuphorbes et tithj maies, comme l'épurge,el beaucoup d'autres plantes, offrent ai s exemples manifestes. Au contraire 3 si l'on adoucit pai la culture la laitue, elle perd m couleur bleuâti eavi c ses qualité! délétén s. Il est certain qi « ls lutin ten ( . qui < st glauque , a quelque àcreté dana son buc : cai il u i ite vi\ < ment les yt ux, Il fuit distinguer de la couleur glauque ou bleuâtre celle qu'un duvet blanc produit sur plusieurs feuilles, < omme ci ll< % <i< i saules, des armoises. i t autres qui i contiennent point de principes délétères : de même, l'épiderme blanchâtre et rarfuracéqui forme l.i //, ur des iruitst comme des prunes, des raisins, etc., 11 que le moindre contact enlève . paraît bleui mais ne l'est pas réellement. Quelques plantes mari- : • [auques aussi, comme le panicaut, l< i i//////; les efymuê t etc. Qn remarque au .m c dans <ii\ i ri chi n<>i><«/u/m , §al$oto , «ai 1 i iiii.d isc « i sutn > végi taux aie ilins : nouvelle induction qui concourt â montra les rap i ,i. la « ook ur bleue d( i i <•, < taux avec U urétat nl< alin. l bampignou i, ceux donl l<](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b21082595_0050.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)