Histoire naturelle des médicamens, des alimens et des poisons : tirés des trois règnes de la nature : classés suivant les méthodes naturelles modernes les plus exactes : avec l'indication de leurs propriétés, de leurs usages, de leurs qualités nuisibles, et des moyens d'y remédier, leur analyse chimique, leur emploi médical, etc. : on a joint partout les noms spécifiques de zoologie, de botanique et de minéralogie, et distribué les substances d'après leur genre, leur famille, leur ordre d'affinité naturelle, avec leurs descriptions / par J.J. Virey.
- Julien-Joseph Virey
- Date:
- 1820
Licence: Public Domain Mark
Credit: Histoire naturelle des médicamens, des alimens et des poisons : tirés des trois règnes de la nature : classés suivant les méthodes naturelles modernes les plus exactes : avec l'indication de leurs propriétés, de leurs usages, de leurs qualités nuisibles, et des moyens d'y remédier, leur analyse chimique, leur emploi médical, etc. : on a joint partout les noms spécifiques de zoologie, de botanique et de minéralogie, et distribué les substances d'après leur genre, leur famille, leur ordre d'affinité naturelle, avec leurs descriptions / par J.J. Virey. Source: Wellcome Collection.
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![i i domestiques, dont le goût sauvage la fait repousser de nos tables. La cbair de venaison a pa- reillement une odeur tt une saveur plu- forlea que celle des mêmes animaux réduits en domesticité. I 11 peut taire la même observation sur les chairs des <-i-« i ( elle des g illinacées ;i moins d'odeût tngt n que celle dei oiseaux d'eau ou dh qui s. 1,1 toujours mi | eu le n b i ■ n& i u des animaux .'icjua- liques esl très-marquée el souvent déplaisante par i \« es , mi loul cIk / li s espèces qui \ iv« Ht dans le limon. I nesel lea autres amphibies parti- cipent à r< tte . od< ur de man e, comme les fucus et tout i les algues marines. les confi n es, etc., qui peuvent sen r égal< menl <\*- nourriture. Ce n'est pas I 12 i phosphore, du moins t< I mail i nte li-x i i un des û , qui conti tiqi ( < i !<■ odeur : i Ile es1 U tns lea s, i >n sait que la vulvaii m puU varia % Jin. répand, lorsqu'on la froisse, um | m- i, ur a p< u pri iblc. ( lependant a • ions animales, ch< / l< - | ei sonnes roi , clu t |, ^ q< n« -, \i!_o!.i-> < t Joli l!< s surtoi c, tte i« tloj ne a celle de l'hj : de i ote phos] bore. (! e t d. i « souj semblable « «Mil ii aisoi - île IN \- périence n anque i i i l tlotte, le j il i .m . I.i < iboule. ! i i « cambol ion < I res espèces de c< i re, la chars ara /./•/.//./. Lin.), I< a, lani ',-, \'aOuU*iay I.IN.. le têUCril (/<>ma , I is.5 !<•> | ', tulbagUi) l< thla&pi alliaceuniy I l \ , l.i < iCiita a,/aa//> </ . las., et bit m l l : e rapprochent | ..u m.«ni >. pu la < <>« lion, de li](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b21082595_0064.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)