Histoire naturelle des médicamens, des alimens et des poisons : tirés des trois règnes de la nature : classés suivant les méthodes naturelles modernes les plus exactes : avec l'indication de leurs propriétés, de leurs usages, de leurs qualités nuisibles, et des moyens d'y remédier, leur analyse chimique, leur emploi médical, etc. : on a joint partout les noms spécifiques de zoologie, de botanique et de minéralogie, et distribué les substances d'après leur genre, leur famille, leur ordre d'affinité naturelle, avec leurs descriptions / par J.J. Virey.
- Julien-Joseph Virey
- Date:
- 1820
Licence: Public Domain Mark
Credit: Histoire naturelle des médicamens, des alimens et des poisons : tirés des trois règnes de la nature : classés suivant les méthodes naturelles modernes les plus exactes : avec l'indication de leurs propriétés, de leurs usages, de leurs qualités nuisibles, et des moyens d'y remédier, leur analyse chimique, leur emploi médical, etc. : on a joint partout les noms spécifiques de zoologie, de botanique et de minéralogie, et distribué les substances d'après leur genre, leur famille, leur ordre d'affinité naturelle, avec leurs descriptions / par J.J. Virey. Source: Wellcome Collection.
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![î.vrnoDi ctk»\ duc celles de nos pays. la rancidilé des graisse* cl huiles fix< s a< coit| pagne souvent Je développement de i*.in- odeur parla chaleur. On sait que les arômes et les savant se dcvelop- pent eu même temps, par un légepr degré d'uslion,ou par la cuisson , dans les chairs , les farineux et les autres substances fades et inodores ; mais de plu-- , ( n dissipant les odeurs et lés saveurs iort< s <t \oic- neuses , la torréfaction peut eplçyér à plusieuis sub- stances ce (]uYll» s ont de malfaisant, C'est ainsi que la CftssaVf | erd l'odeur vireuse et délétère du suc de la racine de manioc. Enfin, si Ton pousse jusqu'à l'union les substances végétales ou animales, on les ii finit toutes a un même genre d'odeur de bîulè ou t)\ mp\ -réunie. Le eliou et la ci-né, le musc et la (bail- , donnent alors un même résultat , a peu de dif- férence pi rs, ÛUYiS les proportions de carbonate aipr moniacal, de l'huilé j\ro-enee. des ^az, etc. De Faction de l'air < / de la lumière sur U-s CO/JM ùaoranê. ( >n peut observer , en uenéi al , que Pair j ou plutôt l'OXyi l le principal destructeur afeS odeurs I ri effet. si l'on considère que tous les n\\ Acs métalliques sont plus inodores que leurs nu taux ; que h neulKs, a peu lions près, (jue f( au et les Mil >l » (l) , sont pri\ ces d'odeui l'on icinaïqm , .in contraire , (jue les aleoboLi et tîh.is. let huit, s \olatiles, l'ammoniaque } 1< J;\,'r I nliii toutes les substances anima!' I U» (.oinnir i»'i»x en I |. • ( • . l h O i :il i.c| lul.int ni pHittM i hniuijiii ni' ut ou paf i , •*.!!< j i!'wt.,|ir ( «p. ,'. I • . ' | «Mil U i : il ilniinr plulôl m.'* ii .a a. u ; 1 «iU<U ■ me «u» , |mii qu'il r,t .iiisvi \. l.atl](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b21082595_0084.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)