Histoire naturelle des médicamens, des alimens et des poisons : tirés des trois règnes de la nature : classés suivant les méthodes naturelles modernes les plus exactes : avec l'indication de leurs propriétés, de leurs usages, de leurs qualités nuisibles, et des moyens d'y remédier, leur analyse chimique, leur emploi médical, etc. : on a joint partout les noms spécifiques de zoologie, de botanique et de minéralogie, et distribué les substances d'après leur genre, leur famille, leur ordre d'affinité naturelle, avec leurs descriptions / par J.J. Virey.
- Julien-Joseph Virey
- Date:
- 1820
Licence: Public Domain Mark
Credit: Histoire naturelle des médicamens, des alimens et des poisons : tirés des trois règnes de la nature : classés suivant les méthodes naturelles modernes les plus exactes : avec l'indication de leurs propriétés, de leurs usages, de leurs qualités nuisibles, et des moyens d'y remédier, leur analyse chimique, leur emploi médical, etc. : on a joint partout les noms spécifiques de zoologie, de botanique et de minéralogie, et distribué les substances d'après leur genre, leur famille, leur ordre d'affinité naturelle, avec leurs descriptions / par J.J. Virey. Source: Wellcome Collection.
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![-* IMTxODICTIon ])e la S n ri-n DES MéDICAUtEM* Nous avons vu l'odorat, semblable à une senti- nelle avancée , prëTenir ranimai des qualités des corps,et lui persuadée on le dissuader de les goûter. JI est fort rare, en effet, que (1rs matières naiir si - um i ou G tid< a ne soi< ht pas nuisibles a mangeri bien qoe pllisil UW matières nuisibles ne soient pas odorantes. Ainsi, beaucoup de minéraux n'ont pas s. lisiblement d'odeur, et cependant >ont des poisons, ou tout au moins des substances incapables de nourrir. M us le goAl est un sens encore plus analytique ou plus intime pour nous dévoiler les propriétés des corps relativement i dos besoins. En effet, si la vu»- ne s'exerce que sur les apparences exté- i des objets, si la membrane olfactive aper- çoit les émanations ou leseffluveé les plus délicats «t les plus fugaces des corps, les papilles nerveuses de l'organe au gôàl palpent et savourent imnié- diatètnent les ootps eux t, divisés ou dissous dailS I » Salive. \ oili doue \u\ examen plus appro- ximatif d'un corps, une appréciation plus du Et l'odorat <t le goût se prélent mutuellement des rs par leui i sppoi is et leur i oi ai âge. Si la .1 de l'odeur, !<• leûs «le l'odorat donne t n mém< temps son ai is, tout de même que i,i e >nfii m' it le jugement île l'odoi it, ou I* re< i < « i deu \ Bens se ti ouvenl il i animaux, tri > rapprochés « ntre i in ; h s m,,;]. i menu ^. d n'est pas probable que . 111 pai I» i ouvei tares des traché i i . fnai i dans les palpes • ■ u I luber , .» I < ! nl.hl ,i'.i ,( / ban les ll< i ! r peuvent étl B K OtîeS qiH p.u |fl](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b21082595_0090.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)