La syphilisation / publication de l'oeuvre du docteur Auzias-Turenne faite par les soins de ses amis.
- Auzias-Turenne, Joseph Alexandre, 1812-1870.
- Date:
- 1878
Licence: Public Domain Mark
Credit: La syphilisation / publication de l'oeuvre du docteur Auzias-Turenne faite par les soins de ses amis. Source: Wellcome Collection.
49/968
![vier 1866 M Auzias-Turenne l'engage à rechercher la maladie du jeune cheval par laquelle celui-ci obtiendrait un degré d'immunité contre le vaccin. Ce doit être un erase pustuleux méconnu, sous forme de gourme, peut-être, p. 703.— A M le Ministre de l'Instruction publique, 22 août 1866. Demande d une souscrip- tion de 1 000 francs pour faire exécuter des dessins représentant 1 éruption vaccinale'de différents animaux, et les effets comparatifs produits sur 1 homme Bar l'inoculation de leur virus. Ces dessins seraient présentes à 1 Exposition universelle de 1867. — A M. J.-B. Curgenven, docteur médecin à Londres, 2o no- vembre 1867. Remerciaient pour l'envoi d'un opuscule de Jenner. — A M. G. O-wkoin a Londres, 29 novembre 1867. Sur certains obstacles et certains avan- tagesque rencontre la syphilisation, p. 704— A M. Ludger Carreau, àLondres, Janvier 1870. Question bibliographique sur Loy. - Au même, 24 mars 18 /0. Remerclment pour l'envoi d'une copie de l'opuscule de Loy. Questions biblio- anhiques, p. 705. - A M. le D' Constantin Paul, à Paris, 25 mars 1870. M Auzias-Turenne offre de mettre en pratique, à 1 usage de 1 Administration, les procédés et formules qu'il a institués, de concert avec M. Mathieu, pour ]a culture du vaccin, p. 706. SUR LES MALADIES VIRULENTES. INTRODUCTION A L'ÉTUDE DES MALADIES VIRULENTES. Coup d'œil jeté sur les virus, au double point de vue du perfectionnement de la vaccine et de la prophvlaxie du choléra • • ■ • 709 Qu'est-ce qu'un virus? Qu'est-ce qu'une maladie virulente? p. 709. — Trois cau- ses de désordres organiques que l'on confond avec les virus : 1. Les Parasites, p. 710. —2. Les Venins.—3. Les Miasmes. Attributs des Virus : 1. Intensité variable, p. 711. — 2. Modalités variables, p. 712.— 3.,Régénération et dégené- ration des virus. — 4. Transmissibilité, p. 713. — 5. Election d'un organisme approprié. —6. Incubation, p. 715. — 7. Symptômes locaux et généraux suc- cessifs. — 8. Immunité, p. 716. — Résumé, p. 718. LA MALADIE CHARBONNEUSE. Discussion sur la pustule maligne a l'académie de médecine 719 Séance du 12 juillet 1864. Le principe de la pustule maligne peut-il se former spontanément dans l'espèce humaine? Question posée devant l'Académie, par M. Gosselin, dans un Rapport sur un Mémoire de M. Gallard. L'auteur du Mémoire a réuni quelques cas de pustules malignes observées chez l'homme, et venues on ne sait d'où, et conclut qu'elles sont nées toutes seules.— Objections, autre mode de raisonnement, p. 719. — Séance du 26 juillet 1864, Discours de M. Ricord, p. 720. — Observations de MM. Velpeau et J. Cloquet. Discours de M. Briquet. La discussion s'élargit. Une s'agit pas seulement de la sponte- parité de la pustule maligne, mais de la sponteparité des maladies virulentes en général. MM. Bouillaud et H. Bouley, p. 721 — M. Gibert rappelle que la question de la pustule maligne a été bien examinée et parfaitement résolue par nos devanciers, notamment dans les Mémoires de Thomassin, et d'Enaux et Chaussier. — Séance du 2 août 1864, Traits historiques propres à répandre du jour sur la discussion de l'Académie, p. 722.— Pline, Celse, Galien, Paul d'É- gine, p. 723. — Thévenin, Morand, Chambon et Thomassin, Énaux et Chaus- sier, p. 724. — Le charbon et la pustule maligne sont deux affections d'une même maladie, dont l'une est, en quelque sorte, la doublure de l'autre, p. 725. — Discours de M. J. Guérin, divisé en quatre chapitres : 1. L'origine de la Ïiustule maligne est toujours externe, p. 736.— 2. La nature de la pustule ma- igne est identique à celle du charbon, de la maladie du sang, du sang de rate, p. 737. — 3. Les formes de la pustule maligne offrent des degrés divers d'in- tensité, p. 738. — 4. La spécificité de la pustule maligne résulte surtout de sa nature. — Réflexions sur la thèse qu'a développée M. J. Guérin, p. 729. — La question de la pustule maligne est bien plus du ressort de la province qu'une question parisienne. — Séances des 9, 16 et 23 août 1864. Le discours de M. H. Bouley a occupé toute la séance du 9 août, p. 730. — Examen des exemples et observations choisis par M. H. Bouley pour démontrer la sponteparité des virus, p. 731.— Incident qui s'est produit dans la séance du 23 août à l'occasion d'un Mémoire de M. Girard de Cailleux touchant la sponteparité du virus de la rage chez l'homme, qui avait été lu dans la séance du 16 août, p. 733. — Suite de l'analyse du discours de M. H. Bouley, p. 734. — Mention concernant la séance du 16 août, p. 739. — Séance du 30 août 1864, Discours de M. Magne, p. 740. — Analyse du discours de M. Magne, p. 741. — Séance du 6 septembre 1864. Discours de M. Briquet. Il est de ceux qui pensent que n'est pas atteint d'un virus qui veut. Qu'est-ce qui constitue la prédisposition? p. 744.— Circon- stances qui peuvent créer des contre-dispositions à l'action des virus, p. 745.— M. Briquet donne & la syphilis une source divine, p. 746. — M. Leblanc a pris](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b20410359_0049.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)