Le cours de medecine en françois contenant le miroir de beauté et santé corporelle ... / Par M. Louys Guyon Dolois, sieur de la Nauche ... Et la theorie avec un accomplissement de practique selon les principes tant dogmatiques, que chymiques ... par M. Lazare Meyssonier [the editor].
- Guyon, Louis, sieur de la Nauche
- Date:
- 1671
Licence: Public Domain Mark
Credit: Le cours de medecine en françois contenant le miroir de beauté et santé corporelle ... / Par M. Louys Guyon Dolois, sieur de la Nauche ... Et la theorie avec un accomplissement de practique selon les principes tant dogmatiques, que chymiques ... par M. Lazare Meyssonier [the editor]. Source: Wellcome Collection.
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![Pour fe ven- dre extraor- dinairement habile. prailité mere veilleufe de ceLivres Pour la Gloi- re de. Dieu y l'Exaltation. de l'Eglifr. Profitableaux- . Ecclefiafti- ques, y aux &atres Par let: moyens ê » ? + À « — 10 Methode d'apprendre la Medecine. Ainfi ce Cours acheué.en tout ce quiconcerne la Pratique ordinaire;Si c’eft quel= qu'vn qui veuille fe rendre Habiie Médecin extraordinsirement, & par excellence, pour trouver des voyes plus feures,plus courtes, & claires dans les connoiffances, def- quelles non feulement Hippocrate,Galien avec les autres Grecs, Avicenne & Rhafis entreles Arabes, mais mefmes les autres plus Modernes,ont efté privésiüfques à ce fiecle , qui adécouvert tant de belles nouveautés ; Il lira avec intelligence pour la connoiflance & la Cure des Maladies , illira , dije , le Segemene cinquiéme du fufdit Breuiarinm Medium, Qui dans quinze iours, quand ilwenliroit que deux A4phorifres par iour,luy feront voir avec lumiere-ce que lés plus ftudieux ne pouveientconceuotr en dix années il ny a pas encore deux fiecles ; Par l'vfage du troifiéme Seg- ment , comme avec quinXe fortes de Remedes faciles on peutprachiquer la Médecin par sont le Minds ; Et finalement par Le quatrième Segment Vn Sommaire de-Praëtique, ac= cordant avec les Demonfrations Theoriques, dont il aura efté imbü par les pre- cette lecture, celle de noftre {dea Medicina vera contra Nugas Vulgares, & la Clef que 1668, avec le Tableau du Medecin Charitable ; qui y eft ioint ; & de là vient à la le= éture de noftre Dofirina Nova Febrium ; au Traité de Abditis Epidemion Caufis à ce}uy des Maladies Nouvelles Extraordinaires, Aflrales, Spirituelles d Peneneues jointes nou- vellement à cette derniere Edition de noftre Cours, pour poffeder en perfection les Mytteres & Secrets de la véritable & plus Sublime Medecine, dont noftre Pen- tagone donne vn Syfteme fi accomply, que toute l'Europe apres l'auoir veu, & leu depuis trente ans , l'a trouvé tel] que plufieurs tres-doétes Philofophes & Mede- cins en ont parlé aveceftime, & ceux quine l'ont pas mefme entendu, pour n'être pas de leur qualité , l'ont admiré fans pouvoir en convañicre la Doétrine, pour n'a- Voir pas affeurément.vne lumiere femblable à celle des lampes que les Sages Vierges de l'Evangile eurent continuellement,pour profiter de la Divine Clarté. Enfin fur Ja fin decetemps, pour Conclufon, lifant la Seéion premiere & feconde des Remarques Curieufes de ce Livre, qui y. commencent page 393. il fe verra en eflat d'exercer La Medecine qu'il aura cemprife,connue,& fçeue entierement fortant du labyrinthe,au- ceux. qui n'vfentpas de ce filet d'Ariadné , qui pourra, fi on le defire, eftre fortifié & enrichy de plufeurs Maximes , Obfervations & Expériences, defquelles nos au- tres Ouvrages font remplis, & defquels fi on defire voir le Catalogue;il ne faut que le chercher au devant de la feconde Partie de nos -4phorifmes des gens d'Efpris, ime primée cette année TAN à NES Ad à D.D.R.C.E. fçavans Medecins , & leurs Afalades ; Car Lyon a correfpondance ordinaire par tout le d’ores-en-avant finegligent d'avoir ce Liur:,& de fuivre cette Methede, laquelle rè- quiert fi peu de temps, & fipeu de frais ? Avec cela, que fa Pradique eft fi vtile pour la Gloire de Dieu, comme nous l'avons enfeigné dans nofîre petit Traité intitulé 4rs l'avons remarqué par la lettre de l’'Eminentiflime Cardinal Chifi fon Nepveu , alle= 4 > e q . Q . + . gs guée en l'Epiftre Dedicatoire de ce Cours. Nous avons fait voir au difcours necef- l'an 165 1.que les Ecclefiaftiques qui la pratiquent en eftans capables, & ne donnans pas plus à Ja Medecinecorporelle,& à la Philofophie naturelle,qu'àla Spirituelle ou felon: _ DRE Ses PS OR: 4, ssh nié: = 0 = 0 EL SE ee](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b33275361_0874.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)