Le conservateur de la santé des mères et des enfans Faisant suite à la Médecine domestique, du même auteur. Suivi d'un extrait d'un ouvrage du Docteur Cadogan sur le même sujet / Traduit de l'anglais par Thomas Duverne de Praîle; revu et augmenté de notes par le Docteur Mallet.

  • Buchan, William, 1729-1805
Date:
1804
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Credit: Le conservateur de la santé des mères et des enfans Faisant suite à la Médecine domestique, du même auteur. Suivi d'un extrait d'un ouvrage du Docteur Cadogan sur le même sujet / Traduit de l'anglais par Thomas Duverne de Praîle; revu et augmenté de notes par le Docteur Mallet. Source: Wellcome Collection.

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    ornement personnel, ce qui devoit nécessaire- ment arrêter l’accroissement des jeunes per- sonnes , et produire des difformités, sans parle] des dérangemens et des maladies que cet usag( occasionnoit. Il est inutile que je fasse remar- quer les graves inconvéniens attachés à un< semblable pression s ur la poitrine et le bas-ventr ( dans l’état de grossesse ; mais je crois devoir re- lever un défaut très commun parmi les jeune; femmes qui vivent aujourd’hui à Londres, qui quoiqu’elles n’aient pas porté de corps,peuvenl être soupçonnées d’avoir hérité de leurs mère; quelques-uns des pernicieux effets d’une telle coutume. L’imperfection dont je veux parler est le manque de mamelons, défaut contre nature, el qui semble devoir son origine à l’usage des corps lacés, Il est si commun de voir les en fans res- sembler à leurs pareils dans la forme extérieure, qu’il n’est pas improbable qu’une hile puisse porter cette marque de l’imprudence de sa mère , et la transmettre même à ses propres enfans du même sexe. Dans les pays où l’usage des corps n’a jamais été pratiqué , le manque d’un mamelon est aussi extraordinaire que celui d’un membre, et l’on n’y voit aucune mère que ce défaut empêche de remplir un de ses plus