Thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 17 décembre 1838 / par Léonor-François Frette Damicourt.
- Frette Damicourt, Léonor François.
- Date:
- 1838
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Credit: Thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 17 décembre 1838 / par Léonor-François Frette Damicourt. Source: Wellcome Collection.
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![16 / de celle des autres parties du corps. I a prostate ^ n’ait, est par comparraison plus grosse que les vesicu es , P caverneux de la verge très court et très petit, est - quable par la petite proportion de son tissu spongieux, dans lequel ”èirre„^;an,trt.n fe.eUe, la région .lu pubis est djà^sou- levée par beaucoup de U „g les sexe cl entants nouveau-nes. Les nyuquica passer le niveau des grandes lèvres , ont aussi une epaiss ^ . longueur remarquables, d’ordinaire elles ne se terminen pas ] > mais par une extrémité arrondie. La fosse P\^- i„ grande. Le vagin très développé à la naissance , en compai ■’ îa matrice et de ces annexes, a surtout une longueur i ‘ Tuembraneinterne, doncles rugosités sontbien niaicjuees, j J Llanche , et n’offre point encore des nuances-, la tronioes pas le petit bassin; on la trouve, ainsi que les ovaires P ^ » au-dessus du détroit supérieur , fort petit , e co . J t plus épais que le corps , le ligament rond est aussi i i ' ovaires un peu éloignés de la matrice et appliques sui p » sont assez développés. Des divers modificateurs de l’homme, des diverses influences qui agissent sur lui et qui constituent les puissances de l’hygiène. L’bomme est entouré d’une foule de choses soumises à une multi- tude d’inlluenees plus ou moins favorables ou mus.bles a sa . ..lus ou moins essentielles à son existence ou menaçantes pou. elle. * Parmi ces influences , il en est dont il ne saurait quelles il ne pourrait se soustraire sans perdre la vie , ’ ils aliments etc. Il en est d’autres qui sans etre sont cependant de la plus grande utilité 5 dans Ips travaux trouvons les bains , les vêlemenla les soins de piopi j de l’esprit, les exercices du corps etc. Je termine ici une esquisse, sans dcîute imparfaite; ma roule ou tant d’autres se sont égarés, je nepretem spoin s Y „„ les écueils. Si cependant ce travail mérite cjuelqu mdulgei , c^est parce qu’il renferme des idées cjue j’ai puisees dans es ç de mes maîtres. FIN.](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b22363671_0006.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)