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Traité pratique de gynécologie / par A. Auvard.

  • Auvard, Dr. (Alfred), 1855-
Date:
1894
Catalogue details

Licence: Public Domain Mark

Credit: Traité pratique de gynécologie / par A. Auvard. Source: Wellcome Collection.

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    laparotomies, combien différaient en gravité la péritonite pelvienne loca- lisée et la péritonite généralisée. Bien mieux, les recherches bactériolo- giques nous démontrèrent que nombre de suppurations pelviennes étaient exemptes de bactéries, c'est-à-dire qu'elles n'étaient pas virulentes. Que de succès de prime abord incroyables s'expliquaient aisément, le pus se fût-il répandu au loin, pendant l'opération, dans la cavité péritonéale ! « La question des suppurations pelviennes fut soulevée à la Société de Chirurgie de Paris, le 2 juillet 1890, par une communication de M. Bouilly sur le traitement par l'incision vaginale d'une variété de « salpingo-ovarites suppurées ». « Péan, le 8 juillet suivant, fit à VAcadémie sa première communication sur le traitement des suppurations, d'origine utérine, ayant pour siège Vutérus et ses annexes. « Le point de départ des lésions pelviennes étant le plus souvent l'utérus, Péan recommande de s'adresser tout d'abord à l'endométrite primitive. Les topiques astringents, la dilatation, le curettage, suffisent dans les cas où la muqueuse utérine est seule en jeu. La suppuration a-t-elle envahi les annexes et le petit bassin, il faut recourir, soit, dans des cas bien déterminés, à l'incision vaginale et au drainage, soit, dans les cas graves, à l'ablation totale de l'utérus, et, s'il est possible, des annexes. Péan pratique à cet effet la désinsertion du col, puis l'ouverture des culs- de-sac péritonéaux, et le pincement progressif, de bas en haut, d'un des ligaments larges, en prenant la précaution de sectionner les parties isolées par chaque pince, aviit 'd'en appliquer une nouvelle. On fait ensuite basculer dans le vagin le fond de l'utérus et on saisit de haut en bas l'autre ligament; puis on libère l'utérus. Péan rejette la forcipressure en masse, de bas en haut, des ligaments larges. Dans les cas difficiles, la section progressive de bas en haut d'un des ligaments, bien que très avantageuse, ne permet pas toujours d'enlever l'utérus d'une pièce : d faut alors recourir au morcellement Lorsque l'utérus a été enlevé, il est faede de se rendre compte de l'état des annexes, et de les exciser, s'il est nécessaire. Les fistules vesi- cales et rectales et l'étendue des poches purulentes ne sont pas une contre-indication de l'hystérectomie, bien au contraire : la castration utérine par le vagin, termine Péan, est l'opération de l'avenir ; elle sauvegarde tout à la fois la réputation du chi- rurgien et la santé des malades. » {Bull, méd., 1890, p. 633.) « Péan décrivit en détail son procédé de morcellement au Congrès de lier- lin (août 1890, in Bull, méd., p. 817). Il pratique à cet effet : 1° l'abais- sement et la dissection du col, et l'ouverture, s'il y a lieu, du péritoine j 2° l'hémostase des ligaments larges, faite en appliquant de longues pinces de chaque côté de l'utérus; 3° l'ablation du col, qui est d'abord incise laté- ralement, de sa cavité vers l'extérieur, dans toute sa hauteur; on résèque ensuite transversalement les deux valves ainsi obtenues; 4° l'incision bila- térale du corps et son morcellement progressif jusqu'à ce qu'on aperçoit le fond de l'utérus; il faut alors compléter l'hémostase des ligaments larges, dont le bord supérieur est devenu accessible à la vue. L'opérateur, n ayan plus à craindre d'hémorragie, excise alors le fond de l'utérus en continua., le morcellement. L'utérus détaché, si les annexes sont altérées, on en la. L'ablation, après avoir placé au delà plusieurs pinces a longs mors.
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