Histoire de la pharmacie à Avignon du XIIe siècle à la Révolution : notes et documents inédits / par Henri Granel.

  • Granel, Henri.
Date:
1905
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Credit: Histoire de la pharmacie à Avignon du XIIe siècle à la Révolution : notes et documents inédits / par Henri Granel. Source: Wellcome Collection.

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    ( llialcaiiti. Stiipaniiii, laiii all)ariiin, ([uaiii ni- |<'rarinn. Litar^j-ii'i. Hesiiiae. < iarijK)tis. Aul’ijji.oiiionli. Ainidi. Ariclnisae. Avellananiin. Fic'uuin cil insciiiiKiue. (dajipai’is. ( ilasti. Faeniciili ^p’icci. Hiiliiae. ( >russae. Ciijiiscuiiiqiie papvri. Hacenioruin. Et soIvaUir diiuidiuin pro ceiitcnario alioniiii aroniatiim et pliariiiacoruiii. Et solvaiitur sex solidi turoiieiises pro siiigiila sarcina viilgo lialla jiiperis. Xuciiiii muscatariiiii. (jariofili. Macis viilgo massis. (iinamomi. Aromatiiiu. Et solvaiitur ipiatuor solidi turoueuces pro siugula sarcina seii balla ziugilieris. (Jardaiiiomi. Ciiiahri. Ma([uiui. Et solvatur pro ipialibet sarcina qua- tuoripiiutaliuui ciijuscuuKpie 4 sol.turou. cuJuscuiiKpie sacliari 4 «ol., lencoiiii cu- jiiscuiuque 2 sol. tr., tliuris 2 sol. t. Et solvatur pro ({iiintali argent vivi 1 sol. tur. Et pro ipialibet sarcina serici detnr iininmns anrœiis, etc., etc. \ oliimnsantenin praedictas taxas })Osse exigi in solidiini, tain ab enqitore, ipiain veuditore. De couperose on vitriol. I) esloujies, tant blanches ipie noires. De litarge. De parrelin(\ De garipot. D’orjiiinent. D’amidon. 1 )’orcbanetle. De uoisilles, siae avellanes. De tonte sorte de lignes. De cappres. F)n pastel. De cenigret (fenugrec). De garence. De cërnse. De tonte sorte de }»a[)ier. De raysins. Ce payera deux liards jionr cba([ue cent de tontes antres drogues. Et six sols tournois pour cbaijue balle de jioyvre. De noix muscades. De girofle. De macis. De cannelle. D’espices. PA se payera quatre sols tournois de chaque balle de gingembre. De graines de jiaradis. De cinabre. De nieguin. p]t pour cliaifue balle de quatre quin¬ taux de cire, quatre sols tournois, de tout sucre et cassonade, du coton, deux sols tournois. D’encens, deux sols tournois. Et pour chaque ipiintal d’argent vif, un sol tour¬ nois. Et pour cba({«e balle de soyiq un écu, etc., etc. IA voulons que lesdites taxes puisseni estre entièrement et solidairement exi¬ gées, tant de l’acliepleur, ipie du ven¬ deur.