Essai sur la photométrie scolaire : thèse présentée et publiquement soutenue devant la Faculté de médecine de Montpellier le 14 novembre 1902 / par Raoul Espinouze.

  • Espinouze, Raoul, 1873-
Date:
1902
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Credit: Essai sur la photométrie scolaire : thèse présentée et publiquement soutenue devant la Faculté de médecine de Montpellier le 14 novembre 1902 / par Raoul Espinouze. Source: Wellcome Collection.

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    — 3^2 - de Tappareil pour obtenir le même résultat, réclalrage de cette classe est égal aux 3/5 de l’éclairage maximum. Le principal défaut de ce photomètre, défaut signalé déjà par M. Cure(l), est que l’on ne dispose pas toujours d’un espace assez grand, permettant de s’en éloigner autant qu’il le faudrait pour déterminer la distance où les points-types cessent d’être vus distinctement. L’emploi des milieux absorbants se retrouve dans les photomètres de M. Imbert, de Cohn, de M. Truc. I. Pholoinèlre de M. Imbert. — o H se compose essen- » tiellement de deux prismes en verre fumé, à arêtes » parallèles et op])osées, renfermés dans une caisse rec- » tangulaire d’environ 0,30 de long. L’un de ces prismes » est fixe, l’autre mobile au moyen d’une crémaillère et » d’un bouton extéideur. De cette manière, l’épaisseur de » la lame à faces parallèles, formée par l’ensemble des » deux prismes, peut être augmentée ou diminuée à » volonté. » L’objet n’est autre chose qu’une ouverture en forme » de crochet, à trois branches perpendiculaires deux à » deux, pratiquées dans une lame métallique mince, et » limitant chacune une surface éclairée de 0“,01 de long » sur 0“002 de large ; au-dessous du crochet et au-dessus » des prismes, se trouve une plaque de verre dépoli dont » le rôle est de diffuser la lumière. » Un miroir incliné à 45” par rapport au couvercle de » la boîte où sont placés les prismes, renvoie parallèle- » ment à ce couvercle les rayons lumineux qui ont tra- » versé la plaque de verre dépoli et les prismes en verre (1) Cure. — Loc. cit., p. 13.