Essai sur la photométrie scolaire : thèse présentée et publiquement soutenue devant la Faculté de médecine de Montpellier le 14 novembre 1902 / par Raoul Espinouze.

  • Espinouze, Raoul, 1873-
Date:
1902
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Credit: Essai sur la photométrie scolaire : thèse présentée et publiquement soutenue devant la Faculté de médecine de Montpellier le 14 novembre 1902 / par Raoul Espinouze. Source: Wellcome Collection.

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    — garçons, rue Bernard-de-Trévicz. 9,57 . ~ — filles, rue Général Maureilhan. 9,52 - — filles, rue Voltaire 9,06 — — garçons, rue Voltaire .... 8,93 — — garçons, rue des Soldats . 8,53 - — rue Faubourg-Boutonnet . 6,262 - — filles, rue du Grand-Saint-Jean. 5,48 — — garçons, rue Aigrefeuille . 5,42 - — filles, rue Corraterie 5,14 — — filles, rue Dom-Vaissette . 5,10 — — filles, rue de fObservance. 5,02 — tableau réj)on(] en partie aux conditions de construc- tion, de situation des diverses écoles envisagées. Ainsi l’école la mieux éclairée, l’école des filles du boulevard Louis-Blanc, reçoit le jour d’une cour intérieure, mais surtout de larges fenêtres donnant sur le quai du Verdan- son (ju’aucune maison ne borde de l’autre côté ; le jour y est donc largement distribué. Au contraire, la faible intensité d’éclairage dont dispose l’école de la rue de l’Observance s’explique par sa situation au fond de l’étroit impasse du même nom, aux murs d’un gris sale, tandis que de l’autre côté le jour est en partie arrêté par les murs élevés du temple de la rue Maguelone. Six écoles seulement,à Montpellier,reçoivent un éclaire- ment dont l’intensité réponde au minimum fixé par Colin; cinq autres sont suffisamment éclairées ; ces onze écoles occupent les bâtiments récemment construits ; sept, situées dans d’anciens locaux reçoivent un éclairage insuf- fisant. 11 est vrai que peu à peu ces écoles disparaissent et sont remplacées par des écoles nouvelles ; c’est ce qui vient de se produire notamment pour celle des filles de la rue Voltaire, transportée dans les nouveaux bâtiments de la rue de la Valfère.