Essai sur les phénomènes de la végétation, expliqués par les mouvemens des sèves ascendante et descendante. Ouvrage principalement destiné aux cultivateurs / par M. Féburier.

  • M. Féburier
Date:
1812
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Credit: Essai sur les phénomènes de la végétation, expliqués par les mouvemens des sèves ascendante et descendante. Ouvrage principalement destiné aux cultivateurs / par M. Féburier. Source: Wellcome Collection.

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    sans varier dans spn epaissenr. . Quelquefois, avec îe temps, il prend un tel accroissement, qu’il devient un tronc que deux hommes pourroient. à peine em-, brasser. Én coniparant, un grand wmbre de. ces, arbres, j’étois convainjcu..qu’ils ne parvenoîent.à cette, épaisseur que par des degrés insensible.s, et qu’ik com-^ mençoient par être de simples tarions. Je rencontrois, souvent des troncs réduits par. la çarip en espèce de planches , de l’épaisseur à peme de la main , couronnés, par de nombreux rameaux çn digitation ; et c.ependantr je ne pouvois avoir aucun doute que .le genre Dracaena ne fût réellement monocotylédan. ... .. s . Çes.difficultés ne purent me rebuter je. ne dése$T pérài pas de les expliquer conformément à ma théorie,, et je me livrai à cj2 trayail avee ^d’autant plus d’intérê^ que je venois d’apprendre la découverte importante, développée dans les Mémoires de J’Institut, parjaquelle un de nos plus/célè]3i;es botanistes, M. Desfontaines, a, fait çonnoître les différences d’organisation qui séparent les deux grandes divisions deS^végétaux. Le peu qui m’en parvint,, suffît ppur,ane convaincre que j’avois eusle bonheur de me rencontrer avec ce savant jamais ce ne ful .pas ,assez,pour me faire profiter des grandes lu^^ mières qu’il^ayoit répandues sur ce sujet, et je niô- trouvai rédqd à pries pi’opres observations. , que je rencontrois fréquemment dans, les bois, sembloient me provoquer^'mais leur,tronc, quelque épaisseur qu’il eût acqui.sè, ne m’offroit tou- jours: dans sa coupe que des fibres longitudinales sans rayons méduUaires. Je cherchois vainement à stypr^ndje leur secret, ^ lorsqu’enfijtt ie. hasard vint