Contribution à l'étude du rétrécissement tuberculeux du rectum : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 27 juillet 1907 / par Georges Stoïanoff.

Stoïanoff, Georges, 1883-

Date:: 1907

Credit: Contribution à l'étude du rétrécissement tuberculeux du rectum : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 27 juillet 1907 / par Georges Stoïanoff. Source: Wellcome Collection.

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$— — l n d(‘s sinnc's capilaiix d(‘ cadlo |)('i‘io(l(‘, c’esl la rc'clor- ragii* (ol)s. 1, II, III, \ III, IX, X\ I ). (a* si^iu', (jiii i)eiil (‘xisl(M* [)ondaiil loiiolomps scmiI fohs. X\'h, j)r('‘C(''d(‘ son- V(‘nl les auli‘('s el si' inonlia' aven* iino conslaïuu' loiile pai‘licuIior(‘, pi*('S(pi(‘ palli()gn()m()iii(ju('. (à‘s Ii(MHon‘ai>ies, pai* loui* abondance (d [>ar liMir l•c[)clilion, pcMiveid provo- <pi(‘r line anéinii' assez prononcéi'. b]ll('s l'apjiellenl les hémorragies con^i'slives de la preniièi'e [lériode d(‘ la InlxM'ciilose jnilnionaiiie. (Ües liénioi'i'a^ic's l'onl jilaeeassi'z rapidenieiiL aux antres signés de l•e(dile. Le nialadi' éprouve une douleur brûlante, une sensation de pesan- teur au niveau de ranus ; il esl louiainmlé par des é|>rein- les, du ténesme, des envies IVdipientes d’albu' à la selle se répétant plusieurs lois pai-jour sans amuin résulbd, le malade étant constipé ; à la place de matières lecales, il expulse des glaii-es striées de sang el de [uis. Omdijue- fois on voit une rectorrée continue, cpii tache le linge, el le malade est souvent obligé de se garnir. Si à cette |)ériode on pratique h' toiudun- rectal, on constate très souvent une contracture du spbinclcM- ; la paroi rectale est œdémateusi', les plis de la nnupnmsi' ont disparu ; d’autres fois la mmpieuse esl recouv('rb‘ de végétations, sessiles ou pédiculées. Tous ces signes peuvent s’atténuer el même disparaî- Ire tout à l'ait, soit spontanément, soit sous l’innueiice d’un traitement a[)|)roprié. Le malade peut rester j)en- danl des années sans é[)rouver de troubles bien accen- tuées du côté du reedum. Mais peu à peu la dél'écalion devient laborieuse (d parfois même ou voit s(‘ former des abcès, (jui i>lus tard se listuliseut, sans aucune tendance à la cicatrisation. Insidieusement le rélrécdssenuMil se (•onstiliK', la maladiel’enlrc' dans uiu' sc'comh' péi'iodc' (pii (‘sl la |)ériod(‘ (h* rélré(dss('menl pro|)renuml ilil.$