Contribution à l'étude du rétrécissement tuberculeux du rectum : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 27 juillet 1907 / par Georges Stoïanoff.

Stoïanoff, Georges, 1883-

Date:: 1907

Credit: Contribution à l'étude du rétrécissement tuberculeux du rectum : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 27 juillet 1907 / par Georges Stoïanoff. Source: Wellcome Collection.

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$r F — :][) — Anlécé lenls hércdilaires.— l^èi’c cl mère bien poiiaiils, IVci'cs cl sa'iirs en bonne sanie. ' Aiilécédenh j)crsonnels. — l'bèvi’c lyphoi(l<‘ en 18S1 ; |)('n(lanl la eonvaleseenee le malade a des abcès a 1 aine droil(', à la cnisse ^'aiudu', à r;nsselle, el <|ni laissent des cicalric.es. Imi ISSb, \ci‘s la lin dn service inililaire, dvsenlerie (?j snbile : léiu'Sine, épreiides, selles très (pu'nles, malières san^nin(>l(‘id(‘s. An bout de liuil jours, sans lrail(Mnent, celle dysenboae dis[)araîl. (est à la suite de celle albujne (|iie le malade dit av<jir commencé a epronver des diriicnllés dans la dérécalion. Pas de sypliilis. Le malad(' a en [tlnsienrs l)roii(diiles, el récemmeid encore il a été soigné à la Iblié, pour nne broncliile snspeclé. Le dél)nl de la maladie aclnelle remonte au mois de mars LSb'2. Le malade, jus([ne-là, n’avail eu que des troubles peu accusés de la délecalion. Il commença, dès lors, à soulTrir le soii*, au niveau de ranus et du rectum. Les douleni's élaieid cuisantes, lancinantes, analogues à nne bri'dnr(‘, [)uis, a|>rès cluujue défécation, écoulement abondanl d(‘ sang, l^e malade [)résenlede la lièvre. A l)Out d’un mois les pliénomèncs s’atlénuenl, mais les selles devienneni pénil)l('s, malièi*es duia's et aplaties. Cet élat dure jns((u’en juilb't IS!)d, épo(|ue à bupiclle apj)araissent des abcès à la marge de ranus. Les üslules consécutives au.\ abc.ès suppurai(Md el coulinuellement il s'écoulait de l’anns du pus mêlé à du sang. Les selles deviennent de plus eu [)lus rares el dures. Le malade i)crd l’appélil el s’amaigrit beaucoup. A son ('idré(', il (*sl |)àb‘, amaigri. Localemenl, une végétal ion grosse coiunu' niu' noiselle, à la partie anté- rieure de ranus ; dans la région préanale, quali-e orilices$