Traité de l'ophthalmie, la cataracte et l'amaurose : pour servir de supplément au Traité des maladies des yeux de Weller / Par J. Sichel.
- Frédéric Jules Sichel
- Date:
- 1837
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Credit: Traité de l'ophthalmie, la cataracte et l'amaurose : pour servir de supplément au Traité des maladies des yeux de Weller / Par J. Sichel. Source: Wellcome Collection.
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![08 TA RT,E UT SYNOPTIQUE 2° Voulu, 3' Photophobtë. 4» Vision. •V Coïncidence de la phlcgmasie oculaire , arec une affection siégeant àMs d'autres organes. OPHTHaLMII: r( r.\i;i;iMl.ï. Sensationde i son , t!r cuisson super*' cielle , qui augmente sur loul le KM el le malin ; le m nia de croit senlirdn table oit un corps étranger cnlrr btpavptèrca Point de pliotopbobietahi que rnpbth.ilinic calai i li.ile est simple. La Tisipll est trouble vers le - lit .. cause des mucosi lés sécrélees alors tn plus grande quantité, el te pu- cipjtanl , en forme de fila ment* . sur le miroir de l'œil. Le trouble de la xi lion esi passager el cède le plus souvent aux frictions des paupières avec le doigt. Souteill i'opbllialinie ca tairliale est prêt accompagnée d'affections catarrhalés de l'une ou de l'autre partie du système niuqueux. Les malades sohi atteints , en même temps, de coryza, de bronchite, de calarrbe des voies intestina- les, etc. OPHTllALMIli 1 II 1 M A T I S V A L I l'ouleiir lancinante fnl augmente surtout lorsqu'on uvrir le» paupiè- res. Tantôt celle douleur, bornée au g|r,|,e oculaire, csl superlieielle: lantôt elle est accompagnée d'élance ment s dans Is tempe el tu côlé de la fêle correspon daut à l'oil iii.i!.. douleur fait souvent des ré missionsfai loi donnent un caractère périodique. La pbolophob, lenle, et en liai monie axec le degré d'intensité de la sclcrotite. I,e malade ne peut pa» ouvrit au grand jour l'œil affecté , tandis qu'il l'ouvre spontanément dans un jour modéré ou dans une demi»obscurilé. Tant que I'ophllialuiie rhumatismale reste cooeen Irée dans la sclcroliqn.- . 1. vision est peu troublée . ù! ne l'est pas du tout ; niais le trouble devient plus consi derablcdés que la cornée, la membrane de l'hument aqueuse el l'iris commen- cent ù s'affecter. Dans le collège de l'oph- ibalmie rliuniati-m.ilc se tiouvenl stnvelH do-. allée lions i humai isma les d'antres orgama, D'antrèa l'ois la même epu^c qui donne naissance à I allée lion rbuiiialique de l'œil, a agi en uiêine temps sur une partie quelconque du svstëtrie mtiqitriis , d'«u il résulte que l'nphlhalmie rbumatismalc se lioure alors accompagnée d'une ail'eciion i-atsrihsle d'un autre orcan'. OI'IITHALMIE 'iisii'tLATsrsi Legonllemenl de Is jonrtive octfMre . r., s.iillie entre les paupii donne lieu à une mus désagréable de picotrn de Froissement el de sion. fouit <]« pLotopbobi La vision n'épi ouve poiul d'allcra.ion dans 1'opbibal mie érjsipelateiw L i rjsipèl« de la con- jonctive n'est souvent qnt le résultai de l'extension d'un érysipële de la fac» oi des paupières n la mu queusc oculaire.](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b21003956_0754.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)