Recherches sur la substitution graisseuse du rein / par Ernest Godard.

  • Godard, Ernest, 1827-1862.
Date:
1859
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Credit: Recherches sur la substitution graisseuse du rein / par Ernest Godard. Source: Wellcome Collection.

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    L'uxagcralion généralisée des cellules graisseuses sous la peau et clans les épiploons conslilue l'obésilé. L'accumulalioii du lissu adi- j)eux sous un point limité du tégument détermine la formation du li- .'•j; tTui Jnsvngcf >:olgois9v.so>) .f^) zfj'iqibn ajouter a ces mots : « la graisse est un aliment tenu on réserve, ^ les muls suivants :« pour suppléer, dans certaines circonstances, les éléments de la »'i'èspitàtion qui vienneilt accidentellement à iTianquer. » Les animaux dormeurs et hibernants ont presqiie tous des épiploons grais- s'èlix sarnumëràires.-'('Vi:reyv'DrcT.' DEé èCiEridEs siÉDioAtES-, Paris, 1818, in-8, Y. XIX, pV296')' «niib 4lijoj(nus Jdoin^jl'j jnioioj WM-i^i/'i r-;? ;.- Les femmes houzouànasses (tribu des Hotteatots-Boschismans) présentent une saillie graisseuse considéralMé dès'fesses. Virey (ouvrage cité, v. XIX, p. 297) pense que ces loupes sont produites par l'accumulation, dans les parties déclives du corps, de la.graisse rendue fluide par la grande chaleur du climat. li<fi,,boss.ç_quei'o^voit,^ur,le pré- sente le champap, sprit formées par de la graisse due à la surabondance de la nourriture. Dans les grands voyages, pendant les^quels cps animaux souf- frent.de grandes firivaUons, les bosses diminuent, puis enfla disparaissent et ne sont plus indiquées que par-la hauteur du poil, qui est toujours plus long sur ces parties que sur le reste du dos. (BuITon, OEuy.RES complètes, édit. «jchard. P^çis, J83â,i|i-8%,ypl. Xll,,,p..30^,),.,^,^ . xAI. d'Escayrac de Lauture, indiquant 195,moyqn^ 4e .transport dans le Sou- dan, dit en parlant des chameau-x partis gras en caravane : « xV la suite du » voyage, leur embonpoint a disparu ; leur bosse qui, avant le départ, ba- ï.jAnçail mpllen?cn^t,sEi,]piisse arronçli.e spr épaules, se laisse tout au v.oiPii?Sid^y|flPff?,(LE flÉ^Ei^i;,^^ Gn .obsGr-ve.iaussi un dépôt dé graisse dans-la queiie des moulons de Bar- barie. Leur quelle.esl lellemeiil ,chargca;degraisse, dil Bufl'un,; « que sou- » vent elle est large dé plus d'un pied, et pè^je. plu^ ,de,.20',li7r,e^. Au reste, » cette brebis n'a rien de remarquable que sa queue, qu'elle porte comme si i> -on lui avait attaché un coussin,sur les fesses.;Pans celte, race de brebis à « grosse queue, M 6'cn,ti-ou,ye qui,Vont;^i, c;o,urle ,et,,Sii,,pesç^)l,e,,;qu'on leur « donne:UT^epe.liU2j(bpOiUetileri,our;,ja^putçni:r,^en,m (Buffpn,, Œu- vres complètes, édit.aLGha,rd,;Parjis,,l82!p, jn-Sr,,;,:VPlv,Xn,,p,^G2.),-^ (■ Un individu gras résiste mieux à Vinanilionjqu'un individu maigre ; c'est )> par la graisse accumulée que les animaux hivernants passent, sans mau- » ger/dansun.engourdissement^élhqrgique,.)» plusîgrandc partie delà sai- ). son froide. » (J.-B. BoussingaiU.Mi Éco.nqmib .n«fl(W.p,i,P,ailis, .1,851, iii-8. 2* édit., t. II, p. bT2.) . -, , : . , . . , ,