'Circulation ou stagnation?'.

  • Ward, F. O. (Frederick Oldfield)
Date:
1852
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Credit: 'Circulation ou stagnation?'. Source: Wellcome Collection.

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    la circulation incessante de l’eau qui entre pure dans une vil et le mouvement également continu des résidus qui doivent sortir, n’admet ni citerne, ni fosse; qui ne sont, selon nous, q deux formes congénères de la stagnation pestilentielle. Ainsi, encore, ce système, ayant pour objet non-seulement l’< lèvement des matières fécales qu’on a laissé séjourner jusqu’i plus ou moins longtemps, au milieu et même au-dessous des bitations des hommes; mais ayant aussi pour but l’application ces matières à l’agriculture, et leur transformation, de source dépense et maladies, qu’elles sont, en source de nourriture richesse; ayant ces buts, dis-je, notre système n’admet pas (si n’est à titre de transition provisoire) la décharge des excréine dans les rivières ; procédé que nous regardons comme un déj: rable gaspillage. Pour empêcher cette perte, et pour la remplacer par la circu tion féconde, nous lions ensemble les villes et les campagnes j une vaste organisation tubulaire, ayant deux divisions, l’une baine, l’autre rurale ; lesquelles divisions se composent chaci de deux subdivisions distinctes; c’est-à-dire, d’un système affér cr ou artériel, et d’un système efférent ou veineux. Ainsi, nous posons dans la ville deux séries de tuyaux, l’i ie amenant l’eau pure, l’autre emmenant cette eau enrichie ■ re matières fertilisantes. si Ainsi, de même, nous établissons dans les campagnes d< autres séries de tuyaux, l’une d’irrigation, amenant le fluide no ricier aux récoltes, l’autre de drainage, enlevant l’eau aprèt tu. tiltration à travers le sol, que son séjour prolongé rendrait im an cageux. m Au milieu de ces quatre séries de tuyaux nous plaçons un rt gane moteur—un cœur central pour ainsi dire — une machin vapeur enfin, qui met le tout en mouvement. Le mouvement sanitaire et le mouvement agricultural, ap avoir longtemps poursuivi leurs développements séparés, quofi parallèles, viennent donc maintenant se toucher et se confon* en un seul grand mouvement. C’est de cette union qu’est sorti* vaste organisation tubulaire dont je viens de vous décrire l’enseinl