Des kystes hydatiques supposés primitifs de la plèvre : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 6 mai 1904 / par Gabriel Matheron.

  • Matheron, Gabriel, 1871-
Date:
1904
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Credit: Des kystes hydatiques supposés primitifs de la plèvre : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 6 mai 1904 / par Gabriel Matheron. Source: Wellcome Collection.

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    - ^20 - nfèni' (isscMiliollcineiil m(‘c;ini(jiie. Mfiis, ;'i une période |)lns avancée de la maladie, ce n'est pins la siini)le oppres- sion du déhnl, c’est une dyspnée conlinue et foi-t intense, 11 est enlin des cas dans lesquels la gène respiratoire at- teint le degré extrême de. l’orthopnée. 4“ Elal général. — Les kystes de la plèvre sont en géné- ral mieux tolérés (|ue ceuxdn poumon. Mais l’amaigrisse- ment existe ordinairement, quoique peu prononcé. Les conditions qui le détenninent sont au nombre de trois j)rincipales ^ le mouvement fébrile (lui accélère la combus- tion organique, U's' lésions intlammatoires péri-kystiques et enlin le rahMitissement des échanges gazeux respira- toires en i-a|)port avec la diminution du champ de l’héma- tose. Pai* contre, l'appétit étant conservé et les organes digestifs souvent intacts, la réparation j)eut s’effeclLier et ré(]uilibre entre les recettes et les dépenses [leut persister pendant longtemps; il n’est pas à dire qu’il ne soit quel- quefois rompu, mais il l’est plus tardivement que chez les phtisiques. La lièvre ii’est pas un symptôme aussi constant que dans la tuberculose ; elle a|)paraît surtout à une période avancée de la maladie, et elle est le plus souvent en rapport avec l’existence d’une complication phlegmasiqiie, de sorte qu’elle ne présente pas d’ordinaire le type, continu. Llle peut même, dans certains cas, faire complètement défaut. SiGNRS lUIYSIOUES 1 Voussure du Ihorax. Toutes les fois qu’un corps éti'anger liquide ou solide se développe dans la cavité thoraci(pic, il doit nécessairement ti'aduii’e sa |)résence