Principes de philosphie zoologique. Discutés en mars 1830 / au sien de l'Acadèmie Royale des Sciences, par M. Geoffroy Saint-Hilaire.
- Étienne Geoffroy Saint-Hilaire
- Date:
- 1830
Licence: Public Domain Mark
Credit: Principes de philosphie zoologique. Discutés en mars 1830 / au sien de l'Acadèmie Royale des Sciences, par M. Geoffroy Saint-Hilaire. Source: Wellcome Collection.
76/232 (page 72)
![ces organes sont autrement disposés entre eux , souvent construits d’une autre manière, qu’ils y sont accom- pagnés de plusieurs autres organes que les vertébrés n ont pas , tandis que ces derniers en ont aussi, de leur côté, plusieurs qui manquent aux céphalopodes. « J’avoue qu’en disant cela je ne dis autre chose que ce qu’on dit beaucoup d’autres avant moi. Mais si je n’ai pas le mérite de la nouveauté, je me flatte du moins d’avoir celui de la vérité et de la justesse, et celui de ne point embrouiller l’esprit des commençans par des ex- pressions non définies, qui semblent, dans le vague qui les enveloppe, présenter un sens profond, mais qui, analysées de près, ou sont entièrement contraires aux faits, ou ne signifient que ce que l’on a dit de tous les temps avec plus ou moins de détail dans l’application. «Dans mes communications suivantes, j’examinerai plusieurs autres principes, plusieurs autres lois annon- cées par divers naturalistes ; mais pour que ces lectures 11e se bornent pas à des questions métaphysiques, j’aurai soin qu’elles se rattachent toujours, comme celle d’au- jourd’hui, à quelques déterminations de faits dont la science puisse tirer un parti plus solide que de ces oi- seuses généralisés. » Mi ]a série et les tenir assez près des poissons, quand tout récem- ment , pour l’atrophie de leur système nerveux, on les a redes- cendus plus bas. Aujourd’hui, en balançant le fort par le faible, on considère les céphalopodes et les mollusques comme devant occuper une ligne parallèle à celle des insectes.](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b29300824_0078.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)