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Mémoire sur l'angine de poitrine, qui a remporté le prix au concours ouvert sur ce sujet par la Société de Médecine de Paris, le 31 octobre 1809, et qui fut adjugé le 2 février 1813 / Par L. Jurine.

  • Jurine, Louis, 1751-1819.
Date:
1815
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Licence: Public Domain Mark

Credit: Mémoire sur l'angine de poitrine, qui a remporté le prix au concours ouvert sur ce sujet par la Société de Médecine de Paris, le 31 octobre 1809, et qui fut adjugé le 2 février 1813 / Par L. Jurine. Source: Wellcome Collection.

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    NA Lr LA4 LA » ) L’ANCGINE DE POITRNE. G1 du corps. La poitrine commence à râler un peu, ou à déceler un amas de pituite qui est expulsée très-aisément par une toux lé- gère. Le malade ne peut se coucher ; dans la plus grande force de l'accès, il ne peut être courbe en avant, il a besoin d’être place tout droit : le pouls ne sécarte presque point, dans cet état, de l’ordre naturel; 1l à irés-peu d'activité , mais il n’est point sus- pendu ni irrégulier. » Malgré l’intentité toujours croissante de ces accès de suffocation , le malade a pour- tant quelquefois encore des intervalles tran- quilles et d’une longue durée, jouissant de la respiration la plus naturelle. Quoiqu’on le considère comme très - incommodé ou et 1] traîne encore souvent plusieurs années, sans qu’il soit long -temps alité . iusau’à AE 5 P 2 EN ce que la mort le surprenne enfin subite- point, et lorsque, quelques heures encore auparavant, 1 se promenoit tranquillement. Cette mort subite survient » NON iout aussi- tôt après un accés de suffocation ordinaire qu'on auroit pu remarquer, mais entre tous les signes précurseurs d’un danger prochain \