Traité de la vaccine et des éruptions varioleuses ou varioliformes : Ouvrage rédigé sur la demande du gouvernement / Précédé d'un rapport de l'Académie royale de médecine.

  • Jean Bousquet
Date:
1833
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Credit: Traité de la vaccine et des éruptions varioleuses ou varioliformes : Ouvrage rédigé sur la demande du gouvernement / Précédé d'un rapport de l'Académie royale de médecine. Source: Wellcome Collection.

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    portionnée à la profondeur des incisions. Quoi ce temps ne soit pas bien loin de nous, on a per le souvenir de ce qui regarde une méthode qui n'ir téresse plus depuis la découverte de la vaccine; mai qu'on prenne la peine de relire les ouvrages où Y en traite avec quelque soin , et l'on verra que le inoculateurs qui faisaient les incisions les plus prcJ fondes étaient les plus malheureux; non que l'inc culation ne réussît pas entre leurs mains, au co traire, elle réussissait trop bien , puisqu'elle donn les varioles les plus graves. Combien faut-il faire de piqûres? Jenner n'en fini] sait qu'une à chaque bras et quelquefois à un s bras. Il avait.deux motifs pour s'en tenir là; l'umL c'est qu'il était pleinement convaincu qu'il y avaJ dans un seul bouton toute la garantie désirable cor tre l'invasion de la variole : et en'effet il est plus qulp probable que les garçons de ferme qui, en travail^ lesvaches, s'inoculaient accidentellementlec0îi>-/Hwlj)! n'avaient qu'une seule pustule, et cependant ils n e||J étaient pas moins préservés de la petite-vérole, puif r que c'est cette préservation même qui a donné première idée de la vaccine. L'autre motif qui faisait que Jenner était si dil^ cret dans le nombre des piqûres, c'est qu'il redoi taitbeaucoup, dans le principe, laphlegmasie locasj^ et sa réaction sur l'économie ; je dis dans le princip parce qu'en effet il revint plus tard de ses craint Ti H e; i lit i tfo