Des eaux chlorurées-sodiques de Hammam-Melouan : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 15 avril 1905 / par Hippolyte Valby.

Valby, Hippolyte, 1847-

Date:: 1905

Credit: Des eaux chlorurées-sodiques de Hammam-Melouan : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 15 avril 1905 / par Hippolyte Valby. Source: Wellcome Collection.

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$(jiialilr (les eaux. Ilaj>|)elnns eeiles des Pyj’éii('‘es, de ddirbelles (A(|iia' d’ai’hellia') en No\eiiipopidaide (Dax) poiii- la (laiile, de Baies (Baice), de Siimesse (1) poui‘ l’ilalie. Sous les empereurs romaius, les établisseiuenls de bains aHeignireid le summum de luxe, de riehesse, de splendeui’s. Des ruines soiivenl immenses el imposanles des Thermes (2), déc('>iiverles dans tous les pays où s’esi élenrbie leiu'puissance, nous pi'ouvenl combien, dans loides les classes de la sociélé ils pi'isaient les soins hygiéniques, celle chaslelé du corps, (juel parli ils savaienl lii’er de riiygiène lberapeuli(p,[e el la coiiflance sans bornes (pidis avaient dans la nalurc mediva Iricc, ce vieux souvenir d’Hippocrate. (1) Siiiucssa, délniilc au x® siècle par les Sarraziiis, située piès de Rocca di Mondragone. (2) Citons quel(|ues-unes des plus connues sur le continent : Arpiæ Duvnniæ (Mont-Dore) : Aquæ Solis (BaiHi, Angleterre) ; Afjuæ Ax (Ariège) : A(puc Aureliæ (Raden-Raden) ; Aquæ Calenles (Cliaudes-Aigues) ; Aquæ culidæ (Vichy) : .1. Xerræ. (Véiâs) ; A. Mscmdi (Ronrbon-Lancy) ; .1. Scxliæ (Aix) ; A. Pahunhariæ (Plombières) ; Ma[lic(træ A. CuUdæ (Wiesbaden) ; /I. ('<d'ulæ (Archena, Aturcie) ; Thci-mæ Jlci'iiierrifies (Teianini), détruit ])ar h's (Aartliagiiiois (Ui 209 aVant .Tésus-Clirist. la's soui-ces étai('iit (•ouïmes et em|)loy('es à cette épo(|iie. bhi Africiue, citons les ])i‘iu- cipales : Aquæ ('<d'ulæ (TTammam Riglia) . Algei' ; II. Mcshnuliuc Coiistaiitiiie) ; II. I\ul)c^^ \(juæ ('fq)ilauæ (Constantine) : II. Djc- læl X(i(U)uu (Coiislaiiline) ; II. Beu Mellsiu (I.a Calle) : II. Sidi Ahduhi (Rel Ahbès) ; I)i‘u cl Knid (Petite Kabylie, cap. Agrioiim Coiistaiiliiie) ; II. Beurda (\illa Sei‘\'iliaua. Constantiiu') ; II. Bou- Iludjur (Oran) ; Oucd-Ilahuiiun (Jemmapes, Constantine) ; II. Si Ali l.(du‘(i<d; (\alporl('s d<'s Romains. La Calh' ) : \'ieux Tenes (.1. (ailcuæ), Alger. — Nous en [>assons des plus fréquentées autre fois. Ces ruines sont répandues autoui’ des sources les plus \'a- liées, llieirnales, fi-oides, sulfureuses, alcalines, gazeuses, salines, reri’iigincuscs, etc.$