Précis de la nouvelle doctrine médicale italienne, ou introduction aux leçons de clinique interne de l'Université de Bologne pour l'année scolaire 1816-1817; suivi du tableau des résultats obtenus dans la Clinique Interne, de Bologne dans l'espace de trois années scolaires / Traduit de l'italien, avec une préface et des notes par P.-L. vander Linden.

  • Giacomo Tommasini
Date:
1822
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Credit: Précis de la nouvelle doctrine médicale italienne, ou introduction aux leçons de clinique interne de l'Université de Bologne pour l'année scolaire 1816-1817; suivi du tableau des résultats obtenus dans la Clinique Interne, de Bologne dans l'espace de trois années scolaires / Traduit de l'italien, avec une préface et des notes par P.-L. vander Linden. Source: Wellcome Collection.

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    vs ( *9* ) «laus certains viscères, qu’il n’était plus possible de les secourir d’aucune manière. Cesmalades étaient affectés soit de consomption ou de phthisie déjà confirmée, soit de pneumonite passée à une fatale dégénérescence, et qui les enleva un ou deux jours après leur entrée à l’hôpital j soit d’exl ravasation de sang dans crâne, qui causèrent la mort peu d’heures après la réception. Ces malades forment un total de quinze pour les trois années réunies. On les reçut soit pour l’iustruction pathologique , soit à cause des re¬ lations qui existent entre noire clinique et l’hôpital de la Madeleine, dans lequel elle est établie , et qui ne permirent point de les ren¬ voyer. Comme l’issue malheureuse de ces maladies était déjà dé¬ cidée avant leur récep ion , et qu’elles ne purent plus être sou¬ mises au traitement, elles ne doivent point entrer dans ce tableau qui est destiné à présenter la proportion qu’il y a entre les ma¬ lades traités et leur mortalité respective, et offrir ainsi le résultat de la méthode de traitement que j’ai adoptée. Les malades dont nous parlous sont désignés par un astérisque dans les trois volumes d’histoires de maladies qui correspondent aux trois dernières années scolaires , et qui se trouvent dans les archives de la Clinique, a la disposition de tous ceux qui vou¬ dront les consulter. La mortalité des malades qu’on admit pour être soumis au trai¬ tement, ne va pas au-delà de 7 3/4 pour cent, comme il résulte du tableau ci-joint. Mais quand même à ces malades, ]X° 453 ...... Morts 35, on voulut encore ajouter les incurables indiqués plus haut. i5. i5, on aurait les nombres...4^8 5o. Ce qui donnerait une mortalité à peu près de dix pour cent. FIN.