Histoire de la mèdecine depuis Galien, jusqu'au comencement du seizième siècle. Ou l'on voit les progrês de cet art de siècle en siècle, par raport principalement à la pratique ... Ècrite en forme de discours adrèssé au Docteur Mead / Par J. Freind ... Traduite de l'Anglois; divisée en trois parties; dont la I. contient les mèdecins grecs; la II. les mèdecins arabes, & la III. les mèdecins latins, & ceus qu'on apèle modernes; & enrichie de notes marginales; & de deus tables à la fin de chaque partie; l'une des noms propres, & l'autres des matières ... par Ètienne Coulet.
- John Freind
- Date:
- 1727
Licence: Public Domain Mark
Credit: Histoire de la mèdecine depuis Galien, jusqu'au comencement du seizième siècle. Ou l'on voit les progrês de cet art de siècle en siècle, par raport principalement à la pratique ... Ècrite en forme de discours adrèssé au Docteur Mead / Par J. Freind ... Traduite de l'Anglois; divisée en trois parties; dont la I. contient les mèdecins grecs; la II. les mèdecins arabes, & la III. les mèdecins latins, & ceus qu'on apèle modernes; & enrichie de notes marginales; & de deus tables à la fin de chaque partie; l'une des noms propres, & l'autres des matières ... par Ètienne Coulet. Source: Wellcome Collection.
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![P R È F :AW 'K racompiignent, qui font fans doute cxcèlens, & dont je ne crois pas la Traduftion fort inférieu¬ re à cele-ci. Je veus par¬ ler de VArt de conferver la §anté des Princes^ & des Verfonnes du premiér Rang, acompagné de VArt de conferver la Santé des Re^ ligieufès , & des Avanta¬ ges de la Vie fobre du Sei- ^//^’z/rLouisCornaro, avec des Remarques par P Auteur des deus précédens Traités*^ a Leide^chés].hdu2iï\gç,ï2ik 1724. Mais comme je n’y ai pas mis mon Nom, c’eft feuîemcnt par ce fécond E chantillon de ma Plume, que je préfente ici au Pu¬ blic, que je lui laiffe à ju¬ ger de moi , fans vouloir m’éforcer de le prévenir par des Eloges, qui feroi- ent toujours fufpêéts d’a¬ voir moins leD^FREIN D, ou fon èxcélent Ouvrage, pour objet, que non pas . » •T' ». fon Tràdù.ftcur/ Je ne prêtées pas non plus, par uii'Exéès d’hu¬ milité horsde faiTôn^^cripr merci pour les Fautes qui fe trouveront dans mon Livre , à un Public qui n’a point d’Oreilles , & qui malgré la Reconoiflàn- ce, & l’Aveu de ces Fau¬ tes, neferoitnulementdif- pofé à me les pardoner. C’eft un Juge également fèvére , ^'intègre; on ne peut ni l’amadouer, ni le corompre. J’èfpère , & c’eft là toute ma Reflbur- ce , qu’un Sujet auffi beau, une Matière auffi curieu- fe , & auffi intèrèlïante, que l’eft une Ht foire de la médecineamenée jusqu’à nos Jours , pour-ainfi-di- re, par un Auteur du Ca- raftêre du FREIND, me fera plus favorable que ne le feroit peut-être un autre ; & qu’il ocupera fi fortl’Atention duLècteur, qu’il](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b30413941_0008.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)