Observation [sic] sommaires sur tous les traitements des maladies vénériennes, particulairement avec les végétaux. Pour servir de suite à l'Etiologie de la salivation du même auteur. Premiere partie / Par M. Jean-Stanislas Mittié.

  • Jean-Stanislas Mittié
Date:
1779
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Credit: Observation [sic] sommaires sur tous les traitements des maladies vénériennes, particulairement avec les végétaux. Pour servir de suite à l'Etiologie de la salivation du même auteur. Premiere partie / Par M. Jean-Stanislas Mittié. Source: Wellcome Collection.

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    long J aiïiïjettiiTant, defagrëable^ qui en impofé aux malades , mafque le défaut de la méthode, fuppofe du talent à celui qui la pratique, par les prétendues coiinaiiTances qu’exigent les moyens qu’il employé,. S’il y en a qui le font de bonne-foi, leurs fautes font innocentes i mais la plupart ne font pas afTèz bornés pour ne pas favolr que la plus grande partie de ce qu’ils font eft inutile ; qu’unîquement occu- pés de la crainte des mauvais elFets du mercure, &d’ en être furpris, ils n’avancent qu’en tâton- -liant, Sc défont fouvent le lendemain ce qu’ils ont fait la veille : par cette méthode tout s^o- père plus par routine que par raifon , 8c là hazard produit révénement. Des préparations qui tendent moins à guérir ■le mal, qu’àprévenir lesinconvéniens du remede_; des ménagemens dans l’^dminiflration du mer¬ cure en fricbiou , foit pour la quantité fok pour •fe temsj de l’attention à coniidérer les gencives qui feivent- de boulTole, quelquefois trompeufe ; voilà çn quoi gît le grand art de cette méthode.