Sarcocèle encéphaloïde : ablation au moyen de la galvanocaustique thermique cicatrisation / par A. Morpain.

  • Morpain, Alphonse, 1826-1870.
Date:
[between 1870 and 1879?]
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Credit: Sarcocèle encéphaloïde : ablation au moyen de la galvanocaustique thermique cicatrisation / par A. Morpain. Source: Wellcome Collection.

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    HISTOIRE DES DROGUES D’ORIGINE VÉGÉTALE. des autres, dans le sens longitudinal, par des cloisons obliques ou presque horizc taies. Leurs parois sont minces et molles; leur cavité renferme une grande quan de grains d’amidon; 4° une couche cambiale d, peu épaisse, à cellules petites, c tenant aussi de l'amidon, sépare le liber du bois ; 5° le bois constitue toute la paJ centrale de la racine; il est formé d’éléments qui, sur une coupe transversale (fig. 12 et 128 c), paraissent tous à peu près semblables, de sorte qu’on ne peut y disting ni rayons médullaires ni vaisseaux. Leur contour est plus ou moins quadrangula ou pentagonal. Leurs parois sont épaisses, et leur cavité, assez large, est remplie grains d’amidon. Vers le centre de la racine (fig. 1286, /), seulement, on voit quelqJ éléments plus larges, vasculaires. A l’aide de coupes longitudinales, radiales, ou ta gentielles, onpeut s’assurer que lebois est formé d’éléments tous semblables. Ce s des cellules plus ou moins allongées, à peu près fusiformes, à parois épaisses et po tuées, se colorant fortement dans la solution acétique de bleu d’aniline. Certains ces éléments sont plus allongés que les autres, mais tous ont les mêmes caractè et Ton ne peut distinguer, comme l’indique bien la figure 128 d, ni rayons méd laires ni vaisseaux., L’Ipécacuanha annelé de Carthagène offre la même structure anatomique q l’Ipécacuanha annelé ordinaire. Aucun détail ne peut permettre de les reconnai à l’aide du microscope, l’aspect extérieur des fragments peut seul les faire distingué [Trad.] (c) Deux sortes d’Ipécacuanhastriés existent dans le commerce. Longtemps conf< Fig. 128c. Racine d’Ipécacuanha annelé ordinaire. Fig. 128c?. Racine d’Ipécacuanha annehj Coupe transversale dans la région libérienne et la Coupe longit. tangentielle dans le bois, périphérie du bois. dues par les auteurs, elles ont été bien distinguées par M. Planchon, mais les nos qu’il leur a donnés : Ipecacuanha strié majeur et Ipecacuanha strié minen sont tirés d’un caractère, la grosseur, qu’il a crue constante, et qui est au cq traire, comme nous le verrons plus bas, très-variable. Il n’en est pas ainsi de la coj