Questions de thèse soutenues à la Faculté de médecine de Montpellier, le 23 février 1838 / par Balestrié (M.-René).
- Balestrié, M.-René.
- Date:
- 1838
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Credit: Questions de thèse soutenues à la Faculté de médecine de Montpellier, le 23 février 1838 / par Balestrié (M.-René). Source: Wellcome Collection.
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![OÜATRIÈME OÜESTION. SCIENCES MEDICALES. 500* EAiposer les cauis^s 9 décrire la marclie et les symptomess de la iK^arlatlne an§;iaeu!se. La scarlatine (jnoj'billi confluentes de Morton ; rubeolœ rossalia d’Hoffmann ; morbilU ignei, ignis sacer de Zacutus Lusitanus; scarla- iina synanchm de Sauvages, Yogel, CulJen ; scarlatina àçs Latins, etc.), ce genre de maladie qu’Alibert clavsse dans les derrna- toses, est definie par J. Frank: « un exanthème primitif, contagieux, c< qui se montre à la suite de mouvements fébriles plus ou moins « marques, et accompagné tôt ou tard d’une inflammation de la <c gorge et surtout des amygdales, recouvre le plus ordinairement <c toute la peau d’une rougeur (tantôt unie, tantôt avec pustules mili- ce formes ou vésicules), et se termine par la desquamation de l’épi- « derme. » Les auteurs ont établi plusieurs variétés de scarlatine, fondées, les unes, sur la nature et l’intensité plus ou moins grande des symptômes précurseurs et concomitants; les autres, sur les diverses complications (]iii peuvent survenir pendant son cours: de la, la scarlatine bénigne ou maligne, simple ou compliquée, miliaire ou angineuse.](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b2236108x_0020.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)