Methode sclerogene : son application au traitement des osteo-arthrites tuberculeuses de cou-de-pied / par Raymond Poux.

Date:
1892
Catalogue details

Licence: Public Domain Mark

Credit: Methode sclerogene : son application au traitement des osteo-arthrites tuberculeuses de cou-de-pied / par Raymond Poux. Source: Wellcome Collection.

Provider: This material has been provided by the Royal College of Physicians of Edinburgh. The original may be consulted at the Royal College of Physicians of Edinburgh.

    18/98 (page 18)
    suivre de commentaires. cl sans ©n tirer de conclusions: car nous gommes d'avis que les tuberculoses locales affectent une telle diversité de lésion-., el «les types anatomo-patholo^iques si nombreux qu'on ne saurail juger défi ni tivement, tel ou ici pro- cédé d'après une simple statistique quelque rigoureuse qu'elle soit. En effet, comme dit M. OUier, il y a dans toute tuberculose deux points à considérer le germe el te terrain, ce dernier par sa valeur ne permettait pas dé conclure d'un tuberculeux à un autre tuberculeux ( 11. Une autre raison pour laquelle croyons-nous il n'esl pas per- mis de juger sans appel, un procédé thérapeutique quelconque, il après des statistiques, c esl <pie la plupart de celles-ci. sont éta- blies sur des malades soignés à l'hôpital el perdus ensuite de vue. Il peu l arriver qu'ainsi, et de bonne foi, on note des résultats immédiats excellents, alors que plus lard, les conséquences des interventions seronl absolument déplorables. Nous ne pouvons terminer cette première partie de noire sujet, sans dire quelques mois, d'une méthode qui pour être de date récente, n en esl pas moins à peu près oubliée aujourd hui à cause des insuccès répétés qu elle a donnés, et aussi à cause di- ses méfaits. .Nous voulons parler de la méthode-de Koeh.Nous ne saurions mieux l'aire que de rapporter les conclusions tirées des expériences faites avec la plus grande impartialité à I hôpital ÏYousseau, au commencement de l'année I Si)I. par MM. Lanne- longue el A.chard, expériences dont nous axons suivi avec intérêt les différentes phases. Ces conclusions ne sont du reste, que la confirmation des idées successivement émises par Ions les praticiens qui se sont servi de la tuberculine. il OixiER communication Paite au Congrès inieraationna] d'hygiène à Copenhague 1884. /{''rue de chirurgie 1885. -2) Bulletin médical 29 janvier 1894,